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Un duo mortel : le patient X


« Au commencement, il créa le ciel et la Terre. La Terre vacante était nébuleuse. Les ténèbres en infectaient la surface. Puis il fit la lumière et vit sa majesté. Il sépara ensuite la lumière des ténèbres, d’où naquit ce dualisme ontologique que nous connaissons maintenant ; et il comprit que ce ne serait pas toujours une partie de plaisir. Alors il créa les agents Muldy et Sculler pour essayer d’y mettre un peu d’ordre. »
Delirium, chapitre 93, verset 24, alinéa 69.

« Vue de l’espace, elle ressemble à une abstraction, autour d’un magicien sur une scène obscure.
A cette distance, jamais on imaginerait qu’elle est vivante.
La vie est apparue dans la mer il y a environ 4 milliards d’années, sous la forme d’un organisme unicellulaire.
Dans une explosion de vitalité couvrant des millions d’années, les premiers organismes multicellulaires commencèrent à se multiplier.
Puis tout s’arrêta. Il y a 440 millions d’années, une extinction massive entraîna la disparition de presque toutes les espèces vivantes de la planète, laissant les vastes océans vides et sans vie. Lentement les plantes commencèrent à se développer, puis les insectes, mais pour être à nouveau victimes d’une deuxième extinction massive. Et le cycle se répéta encore et encore. Les reptiles n’émergeant de la mer que pour être décimés ; les dinosaures luttant pour survivre ; ainsi que les premiers oiseaux, les poissons et les plantes à fleurs.
Et la terre connut ainsi quatre puis cinq grandes extinctions biologiques.
L’homo sapiens n’est apparu il n’y a qu’une centaine de millions d’années.
L’homme. Des peintures rupestres à la Bible, de Christophe Colomb à Apollo 11, nous avons exploré inlassablement l’univers qui nous entoure, faisant l’inventaire des multiples richesses que la nature nous dévoilait. Les six milliards d’individus qui peuplent la terre aujourd’hui descendent tous de cette unique cellule originelle, de cette première étincelle de vie. Mais malgré tout notre savoir, nul n’est capable d’affirmer avec certitude quoi ou qui est à l’origine de cette première étincelle. Y a-t-il un plan, une finalité, une raison qui justifie notre existence ? Notre espèce est-elle condamnée elle aussi à disparaître, dans la sixième grande extinction que nous annoncent déjà les scientifiques ? Ou bien le mystère sera-t-il dévoilé par un signe, un symbole, ou une révélation… »
Ce discours assommant de Muldy fut ô grand Dieu interrompu par une atroce et bruyante éructation émise par notre cher ami Sculler.
Muldy fut fort surprise et encore plus déçue de la présence de Sculler en ce lieu et en cet instant.
La vue de son ancien partenaire qu’elle croyait joyeusement avoir définitivement perdu la figea.
En balbutiant, elle lui dit :
- « Mais que fais-tu là ? Je te croyais envolé avec les deux filles de joie de notre dernière enquête…
- Je vais tout t’expliquer. Mais je préfère le faire dans un endroit plus discret…
- Je te suis. » Lui répondit-elle.
Et en effet elle le suivit…jusqu’à une boîte d’échangistes en plein cœur de la ville.
Un mastodonte servait le vigile à l’entrée, il reluqua Muldy, fit un signe de respect à Sculler et les laissa entrer. Une fois que la porte se referma derrière eux, Fox commença à délasser ses chaussures, puis déboutonner fébrilement son pantalon.
- « Mais que te prend-t-il ? »Interrogea Dana.
- « C’est le seul moyen d’entrer :faut se mettre à poil…
- Tu m’avais rien dit de ça !
- Qu’est-ce qui va pas ? T’as tes ragnagnas ?
- Hein ?
- Les rivières pourpres j’veux dire, putain t ‘es conne ou quoi !
- Oh, non. Mais c’est pas ça, mais je suis pudique et…
- Et quoi ?Allé, magne-toi le cul chérie, on va pas y passer la nuit ! »
Muldy lui obéit sagement ; et tous deux, nus, entrèrent dans la grande salle des réjouissances. La porte d’entrée s’ouvrit sur une vaste orgie comme un rideau de théâtre se lève sur une scène.
- « Je croyais qu’on allait dans un endroit discret.
- C’est le cas, non ? (cas non= canon… Non laissez tomber c’était pas drôle. [NDLAQVFDLH] *)
- Bah, disons que je ne m’attendais pas à être entourée de gens s’adonnant à de tels plaisirs charnels, et en groupe qui plus est, lorsque tu me parlais d’un endroit discret.
- Mais ici au moins, on est sur qu’il n’y a pas de micro de surveillance dissimuler par un groupe intra-gouvernemental complotant avec les extra-terrestres.
- C’est juste. Bon, je voudrais maintenant connaître la vérité.
- La vérité est ailleurs.
- Mais la vérité n’est-elle pas aussi le plus grand mensonge que l’homme est inventé ?
- Oh ta gueule salope !
Bon tu veux que je te raconte ce qui s’est passé ? Peu avant notre enquête, je fus enlevé par des extra-terrestres, ils m’ont cloné et on envoyé mon double sur l’enquête. Car Gorge Profonde (un black qui en mange) savait ce qui allait m’arriver et a réussi à dealer avec les aliens. J’ai donc été sauvé par les aliens d’une mort certaine, mais en contrepartie ils m’ont implanté au fond du rectum une puce sophistiquée qui servait de traceur. Heureusement, une fois qu’ils m’ont libéré, j’ai été chez un pote proctologue qui m’a enlevé la puce. Mais comme j’avais pas d’argent sur moi, j’ai dû le payer en nature et i l m’a sévèrement enculé. Et après quoi je suis retourné ici et tu connais la suite. Voilà l’histoire.
* [NDLAQVFDLH : Note De L’Auteur Qui Voulait Faire De L’Humour]
Muldy fut consternée à l’idée de savoir ce que Sculler avait enduré. Mais Fox semblait moins traumatisé qu’elle :il était déjà en train de se branler sur les fesses chaleureuses des participantes à l’orgie. Dana regardaient tous ces corps en parfaites adéquation, et, sans réellement en prendre conscience, laissait ses mains glisser sur son minou. De ses doigts gauches elle frôlait ses lèvres déjà moites pour mieux les écartées, et, de son index droit, elle caressait son clitoris lubrifié par ses sécrétions vaginales. Fox, lorsqu’il la vit dans cet état de transe, s’empressa d’accourir vers son entre-jambes pour y engloutir délicieusement la langue. Dana arriva vite à l’extase, ses mains se crispait désormais au canapé sur lequel elle mouillait, ses ongles en transperçait l’étoffe en cuir, et Fox buvait à gorge déployée la transsudation vaginale de sa collègue. Elle poussa un râle de plaisir et Sculler qui la léchait affectueusement en s’auto-félicitant lui éjacula sur la cuisse en se redressant. Les autres clients les regardaient jalousement, ils étaient là pour tout partager et ils venaient d’être déçus. Ils appelèrent donc le gros molosse pour les foutre à la porte. Il balança Fox hors de la boîte et garda avec lui Muldy un petit moment. Fox la vit ressortir du club avec une démarche à la Clint Eastwood. Elle n’a pas eu besoin de lui faire un dessin.
- « Et pourquoi es-tu venu me voir ?
- J’ai besoin de ton aide. Pour une nouvelle affaire paranormale.
- Et de quoi s’agit-il cette fois ?
- Du Patient X.
- Et qu’est-ce exactement ?
- La clef de toutes les affaires non-classées : il est notre lien avec le paranormal, avec les sciences occultes, avec la vérité.
- Et qu’est-ce qui te prouve que tu ne te trompes pas ?
- Suis-moi. »
Et elle le suivit de nouveau. Mais cette fois-ci ce fut dans un endroit lugubre, insalubre, malfamé, l’appartement de Fox je veux dire. Lorsqu’ils entrèrent, Muldy vit un homme anxieux assis à la table du salon. Cela faisait depuis longtemps qu’elle n’était venue ici, depuis la nuit où Fox l’avait fait boire à outrance et l’avait emmenée admirer le plafond de sa chambre à coucher. La chambre à coucher était d’ailleurs la seule pièce correcte de cette garçonnière : un lit à matelas à eau, miroir au plafond, accès directe à la salle de bain, artillerie S.M. dans une malle datant de l’obscurantisme (euh ! euh ! Désolé, c’est plus fort que moi…).
Sculler susurra quelque chose à l’oreille du figurant (la flemme de trouver un autre mot et de perdre mon temps et mon encre à remplacer ce mot par une expression ou je ne sais quoi. Et toc !), et dit à Dana de venir voir. L’homme possédait des dons de psychokinésie et parvenait à faire voler une cuillère et à la faire se tordre. L’agent femelle (et ne dites pas que je suis miso !) répliqua à ce tour de prestidigitation (essayez de prononcer ce mot pour voir… pas facile, hein ?) :
- « En physique nous avons différents modèles, et c’est un exercice classique pour les étudiants en physique de calculer la probabilité pour qu ‘une feuille de papier vole seule dans les airs. Ce n’est pas exclu. C’est exactement comme la réaction de Belussov Zabotinski. Physiquement, il n’est pas exclu que, par une super-fluctuation, un super-hasard, toutes les molécules d’un objet décident de voler dans la même direction, et qu’une pierre puisse s’envoler. Il faut pour cela que l’environnement se refroidissent un petit peu, ça ne pose aucun problème d’énergie. Ce qui est intéressant, c’est que dans les cas de phénomènes paranormaux on parle toujours de courants d’air. Ça correspondrait parfaitement. Mais on n’en connaît pas encore assez sur le sujet. Je peux seulement dire que ce n’est pas impossible physiquement. Quant à décrire le mécanisme lui-même, on n’est pas en mesure de le faire aujourd’hui.
- Tu fais vraiment chier tu sais ? Mais lorsque tu verras un esprit tu rigoleras moins.
- J’attends de voir ça.
- Putain de merde je vais te casser le cul si tu continues sale pute !
- J’attends de voir ça.
Sculler, outré, la prit au mot (au mot= omo… Non laissez tomber c’est toujours pas drôle [NDLAQSOAVFDLHEQNETPD] *). Il demanda au Patient X de lui filer un coup de reins… euh… un coup de mains. Le Patient X mit Dana en lévitation, Fox, se précipita pour la débarrasser de ses vêtements, et l’attacha à son lit diabolique… Le psychoj’saispukoi tira la malle de dessous le lit et l’ouvrit d’un seul mouvement de nez (je kiffe « ma sorcière bien-aimée » [NDLAQDP] **). Il étala au sol les instruments et avec Fox décidèrent desquels ils allaient tester l’efficacité. Dana, en fausse Sainte-Nitouche, était en fait très excitée à l’idée d’expérimenter tous ses gadgets sados masos en cuir et en métal… Nos deux camarades décidèrent de commencer par le pince-tétons, et c’est Sculler qui se dévoua pour les mettre.
Avant de les mettre, Fox, en expert, entreprit de stimuler lui-même un peu les tétons avant d’y accrocher les engins : il chevaucha Dana, approcha lentement sa tête de la ferme poitrine de sa coéquipière, déposa délicatement ses lèvres autour d’un des tétons et le léchait amoureusement jusqu’à le raffermir. Fox aurait bien passé toute la nuit à embrasser la peau douce et laiteuse de sa camarade, mais le temps pressait.
* [NDLAQVFDLHEQNETPD : Note De L’Auteur Qui S’Obstine A Vouloir Faire De L’Humour Et Qui N’Est Toujours Pas Drôle]
** [Note De L’Auteur Qui Devient Pathétique]
Une fois les tétons endurcis, il y posa les pince-titines et Muldy fut enjouée lorsqu’elle ressentie sur sa peau brûlante la fraîcheur stimulante du métal.
Elle mouillait, et ce n’était pas sans raison : le Patient X lui psychokinésiait le clitoris et la s… aimait ça !
Après quelques flagellations sur certaines parties intimes (comme si elle avait quelque chose d’intime) du corps de Dana, les deux compères s’auto-fellicitèrent sur le corps révulsé par les coups de Dana. Puis Sculler reprit innocemment la conversation avec Dana :
- « Les phénomènes paranormaux ont ceci de particulier qu’on ne peut pas les provoquer sur commande. On pourrait même dire que caque fois qu’ils sont censés produire un effet particulier, ils ne se manifestent pas. Ce qui veut dire que chaque fois que j’attends quelque chose de particulier d’un phénomène, ça n’arrive pas.
Beaucoup de gens disent qu’ils avaient leur caméra braquée quand quelque chose est tombé, mais que ça c’est passé hors-champs.
Je connais un psychologue anglais, Ken Bachelder, qui croyait qu’en installant une caméra pour filmer ses expériences, il arriverait à filmer ce phénomène de psychokinésie. Il a dû se rendre à l’évidence : il n’a jamais réussi. Il s’est dit que c’était dû aux conditions psychologiques de l’enregistrement : devant une caméra, les gens sont gênés, ça change tout. Mais, d’une certaine manière, cette caractéristique systémique des phénomènes paranormaux est un élément plus grave, plus fondamental. Car ils montrent qu’ils ne sont pas liés à ce que la personne concernée pense ou ressent, mais à la possibilité d’intervenir dans ce système de façon à en faire quelque chose.
Si je peux enregistrer quelque chose avec une caméra, si c’est possible, il ne se passe rien du tout. Evidemment on peut toujours se dire, comme souvent dans la vie, qu’on est passé à deux doigts du succès ; en limitant un peu l’observation, en ne braquant pas la caméra pour avoir un gros plan, mais en filmant de façon plus discrète, il aurait peut-être été possible d’observer le phénomène. - Il faut filmer un peu flou ?
- Oui, si je trouve le bon dosage, je pense qu’on peut observer ce genre de phénomènes mais pas comme on voudrait qu’ils se passent. C‘est exactement pareil pour les fantômes.
- Et tu crois que les fantômes vont comme par hasard venir où tu veux ? Ne crois-tu pas que les fantômes soient attachés à certains lieux ?
- Il y a des lieux plus hantés que d’autres, mais je pense que cela tiens moins au lieu qu’à la « fama », l’histoire que l’on raconte sur ce lieu. Il y a des gens qui attirent plus ou moins les fantômes. Et quand ils arrivent sur place et qu’ils entendent cette « fama », ou même ne l’entendent pas, mais si le lieu est chargé d’histoire, il peut se passer des phénomènes étranges. Oui, on peut dire ça. Ça ne tient pas forcément au lieu, mais il y a des lieux plus angoissants que d’autres. Mais le fantôme est plus lié à la personne qui le perçoit.
- Et où peut-on trouver un tel endroit ?
- A Oddcity. »
Et le trio partit donc là-bas, Fox emportant tout son bric-à-brac de chasseur de fantômes. Là-bas planait une atmosphère préoccupante, les habitants avaient peu à peu quitté la région, à la suite d’une étrange affaire.
Lorsque nos trublions arrivèrent en ce lieu, ils saisirent la cause de cet exode, dont voici la lascive histoire :
Des ectoplasmes séquestraient et violaient toutes les femmes s’aventurant dans cette lointaine contrée.
Fox qui narrait à Dana cette histoire, en profitait pour lorgner sur son généreux décolleté, et s’aperçut très rapidement qu’il n’était pas le seul … Effectivement, les spectres endémiques régionaux eux aussi contemplaient amoureusement ses protubérances mammaires, mais n’allaient pas s’en contenter.
Heureusement que Fox avait eu la sagesse d’installer dès son arrivée son matériel ! Car sinon, il aurait une fois de plus raté quelque chose : ces glabres félons d’esprits s’emparèrent sans tarder de l’agent Scully, lui arrachant veste et jupe, annihilant l’ossature de son soutien-gorge, et la défroquant farouchement ! Et la mascarade ne s’arrêta pas là : les libidineux la garnirent par tous les orifices.
Puis, une fois soulagés, ils partirent vers de lointains aux-delà.
Mais arrivèrent des spectres femelles sortis de je ne sais où (est-ce que Chris Carter n’a pas lui aussi quelques lacunes d’imagination de temps à autres ?… [NDLAQCASEAFDPED] *) et qui se jetèrent férocement sur Fox. Ces « spectresses » avides de plaisirs charnels prirent le parti de folâtrer avec Fox.
Sculler, au départ nonchalant, fut en réalité assez surpris de la dextérité dont faisaient preuve ses agresseurs. Et il fut même assez comblé de la jouissance qu’elles lui firent éprouver. Se faire sucer par un fantôme femelle, c’est assez peu courant, et le plaisir fut pour Fox à la hauteur de la surprise.
Seule la tierce personne restait indemne à ses attaques, car son statut de Patient X (BAC+24, et études en sexo-procto-sado-maso-zoophilo-masturbatologie) lui assurait protection contre toutes attaques surnaturelles.
Etant donné que Sculler avait les spectres en vidéo, assez hard qui plus est, et que par la même occasion il avait prouvé à Dana qu’elle était conne(dans les grandes c’est à peu près ce qu’il lui fit comprendre, et à quoi pouvait-elle s’attendre d’autre ? C’est une femme après tout, merde quand même, et bientôt elles voudront l’égalité, non mais des fois, je vous jure…), la triade prit le parti de rentrer chez eux.
Le Patient X s’excusa auprès de Scully d’avoir influencé les esprits, mais cette dernière feignait de rien avoir vu ni vécu de spectaculaire dans ce bled paumé. Sculler, qui avait filmé toute la scène, l’exhiba fièrement à Dana. Lorsqu’elle vit les images, elle se sentit soudainement gênée. Son coéquipier lui dit alors bassement :
- « Nie-tu encore l’existence des esprits ?
- Je dirais qu’ils existent, mais ce n’est pas quelque chose comme ça. Les esprits existent assurément, dans la tête de celui qui les observe. Si je regarde ça en tant que spirite, et que je pars du principe que les esprits pourraient exister, je vais voir un esprit ; mais si je me positionne comme sceptique et pars du principe que les esprits ne peuvent exister, je verrais simplement une surimpression vidéo.
- Tu les as sentis passées, hein ?
- Une chose est sûre, ce n’est pas ta verge que ta branlette matinale a élimé que j’aurais senti. Dana ria, Fox aliéna, le patient X s’escamota.
* [Note De L’Auteur Qui Commence A S’Enerver A Force De Pas Etre Drôle]


© Shrykull : Un duo mortel : le patient X

p.s. : certains passages (sur la parapsychologie) ont été retranscrits d’après le documentaire « Geister sind nur auch Menschen » passé sur Arte.
p.p.s. : Cimer’ à Said pour les conseils qu’il me donna pour cette story…
p.p.s.s. : Le premier discours de Dana est issu de l’épisode de X-Files intitulé Biogenèse.


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