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N’est-ce pas un des grands fantasmes masculins que de coucher avec deux femmes en même temps ?
Et nous savons tous que les hormones ont tendance à les abêtir. Alors imaginer ce que peuvent en tirer deux créatures de rêve, aussi attirantes qu’étranges.
Cette histoire se déroula dans une modeste petite ville, nommée Darknesstown entourée à sa périphérie par de vastes champs et une forêt de pins traversée par la seule route qui donnait vers l’extérieure de la ville.
Cette ville paraissait être tout ce qu’il y a de plus tranquille si ce n’est son côté lugubre. Pourtant une affaire sur ce village venait d’être confiée aux deux agents Muldy et Sculler du F.B.I.
Ces deux agents s’occupaient d’affaires non-classées, d’affaires paranormales et d’affaires dont personne ne voulait. Ils étaient payés le prix du S.M.I.G. ce qui n’était pas mal pour le travail qu’ils effectuaient, car il faut avouer que leurs affaires, même s’ils s’en occupaient, restaient non-classées.
Muldy, Dana de son prénom, sortait d’études supérieures en psychologie et était diplômée en doctorat de médecine générale et en exobiologie. Elle avait un esprit scientifique qui l’empêchait de croire en n’importe quoi, à l’inverse de son partenaire Fox Sculler. Lui, c’était plutôt le cancre de service, toujours assis en au de l’amphithéâtre quand il pensait à y aller. Fan de mangas érotiques et de dessins animés dans le genre South Park ou The Simpsons il avait une fâcheuse tendance à ne penser qu’avec ce qu’il avait dans le caleçon. Naïf, pour ne pas dire totalement stupide, il était un lourd fardeau pour Dana, mais comme c’était un fils à son papa, ce dernier étant le directeur des bureaux fédéraux d’investigation, elle était obligée de faire avec. En plus, c’était le style misogyne considérant que les femmes ne sont là que pour assouvir les pulsions libidinales masculines, « faire la bouffe et s’occuper des marmots » répétait-il à longueur de journées. Un jour il lui demanda de dire « camion », ce qu’elle fit pour obtenir la paix, et il lui répondit « pouet-pouet » en pelotant sa poitrine. Cela lui a valut un coup de genou bien placé qui lui amena les larmes aux yeux et des difficultés pour faire la petite commission pendant un bon moment.
L’affaire dont on venait de leur faire part était sur une série d’enlèvements, uniquement d’hommes, la plupart mariés et pères de famille. Aucun des habitants ne semblait suspecter personne de précis.
Le supérieur des deux agents, le lieutenant Slimmer, homme plus qu'un peu enveloppé, décida de les envoyer sur place pour enquêter. Ils prirent leur voiture banalisée et partirent pour six heures de route vers un « bled paumé » marmonnait incessamment Fox. Ce dernier n’ayant pas obtenu le permis, pour la simple raison qu’il a annihilé deux voitures d’auto-école et écrasé une grand-mère contre un mur après avoir tiré inconsciemment sur le frein à main car il ne savait pas quelle était l’utilité de « ce bidule ». Donc ce fut à Dana de se coltiner les six heures de volant avec cet aliéné qui chanta les six durant « YAMCA » des Village People.
Une fois arrivés, Dana s’arrêta au motel à l’entrée de la ville où le concierge lui annonça qu’il ne restait plus qu’une chambre avec un lit deux personnes. Elle sentit alors d’étranges et insoutenables maux de tête s’insinuer dans son pauvre crâne martelé par les absurdités qu’énumérait Fox.
Ils partirent donc s’installer dans leur chambre la nuit étant tombée. Dana pris en premier la salle de bain, ce qui permis à Sculler d’assouvir son côté voyeurisme. Ce spectacle auquel il assistait l’enchanta. Dana, en plus d’être studieuse, était d’une grande beauté. Il la vit se dévêtir, sa jupe tombant délicatement le long de ses somptueuses jambes, elle enleva son chemisier laissant paraître sa poitrine que son soutien-gorge cachait innocemment. Son ventre plat, ses rondeurs parfaites, ses jambes qui n’en finissaient plus, ses pieds si petits, son visage d’une si grande finesse, et sa peau mate dont il sentait l’exquise douceur rien qu’en l’observant, le firent monter au septième ciel. Il sentait son taux d’adrénaline croître inéluctablement, il était pris d’un désir incontrôlable de caresser sa peau, couvrir de mille baisers le moindre recoin de son corps. Son esprit avait quitté son enveloppe charnelle, il était dans cette pièce avec elle, elle qui cambrait le dos, accroupie sur le carrelage ce qui lui donnait des allures de Sphinx, elle qui levait la tête vers le ciel, l’eau bouillante de la douche bouleversant tout son corps, la faisant même frissonner. Elle sentait étrangement la présence de Fox, elle se sentait désirée, elle sentait son regard qui caressait doucement sa peau moite, elle sentait son regard émerveillé par son corps de déesse. Elle devint à ses yeux déesse, une déesse vénérée, adorée, désirée.
Et sans même se toucher, sans même que leurs regards se croisent, ils faisaient l’amour à travers le temps et l’espace ils s’aimèrent le temps d’une douche, le temps d’un regard émerveillé comme celui de deux adolescents vierges aux corps nus qui l’espace d’une nuit vont fusionner, vont se désirer, vont découvrir les joies des plaisirs charnels.
Puis elle sortit de la salle de bain, toute bouleversée, et lorsque leurs regards se sont croisés, ils baissèrent la tête, comme s’ils avaient honte, honte d’avoir l’espace d’un instant perdu le contrôle de leur corps.
Il y avait quelque chose d’étrange dans cette ville, il y avait une atmosphère de désir, de quête de plaisir qui en émanait et poussait les habitants à assouvir leurs pulsions sexuelles.
Le lendemain, les deux agents décidèrent de rencontrer les proches des victimes afin de trouver une explication logique à cette suite de disparitions. Mais ils n’en obtinrent rien de concluant, si ce n’est que deux femmes qui vivaient ensemble, dans une petite maison dans la forêt étaient insultées de tous les noms par les femmes des disparus.
Les deux agents sont donc allés leur rendre visite. C’était deux « bombes sexuelles »pour emprunter les mots de Sculler. L’une était blonde, les yeux d’un bleu azur, et l’autre était brune avec un regard si noir et si profond quez l’on pouvait s’y noyer. Elles avaient toutes deux une silhouette de rêve et portaient des vêtements moulants qui mettaient encore plus leurs corps en valeur. Sculler était bouche bée, un filet de bave dégoulinait le long de son menton. Il était entouré de trois femmes splendides qu’il regardait d’un air hébété. « Ngueu » était la seule chose qu’il parvenait à prononcer. Les deux femmes furent blessées d’apprendre qu’on les soupçonnait d’avoir commis de tels actes, et affirmèrent fermement qu’elles n’y étaient pour rien. Muldy était prête à les croire et Sculler ne suivait rien à la situation si ce n’est les fesses de ces belles demoiselles. Ils repartirent donc, Muldy était pressée de prendre un bain, quant à Sculler une des deux suspectes lui pris la main et lui donna son numéro de téléphone en lui susurrant à l’oreille : « Appelle-nous si tu t’ennuies ». Fox était aux anges.
Le lendemain, Muldy continua son enquête seule, Sculler ayant feint d’être malade. «De quoi a-t-il à se plaindre ? » se demandait Dana, « Il dort par terre et devrait s’en estimer heureux, j’aurais bien pu le faire dormir dehors. ». Et à peine eut-elle franchi le pas de la porte, Fox se jeta sur le combiné de téléphone et s’empressa de composé le numéro des deux femmes de la veille. Elles l’invitèrent chez elles pour déjeuner et plus si affinités. Ce qu’il ne soupçonna pas c’est qu’il était le dessert.
Dès qu’il eut franchi le pas de l’antre sanglant des deux attirantes et sanguinaires créatures, ces dernières le convièrent à table. Ils débutèrent le repas par une étrange salade, que Fox délecta. Ce qu’il ne savait pas, c’est que c’était une salade de phalanges et de phallus qui appartenaient aux précédents convives. Après l’entrée, la jeune femme blonde partie chercher le plat de résistance qui était censé être un ragoût de porcs, le terme étant bien choisi pour qualifier le macabre repas qu’ils allaient déguster.
Mais Sculler regarda sa montre et dit aux deux jeunes femmes : « Oulala, mais faut qu’on nique maintenant ! ». Les deux belles poupées semblaient déçues, et Fox ajouta : « Ben quoi ? Vous avez cru que j’allais juste venir pour casser la croûte ? Mais je suis pas un goujat moi ! ». Les deux femmes se regardèrent, haussèrent les épaules et se retournèrent vers l’agent avec un sourire pervers. « Je savais bien qu’on était sur la même longueur d’ondes tous les trois. » dit bêtement Fox.
Les deux délicieuses enfants s’avancèrent alors lentement vers lui. Ils se dévêtirent, ils étaient désormais nus, allongés sur une peau d’ours en face d’un feu de cheminée ardent et crépitant. Les deux femmes amenaient dans ce rapport une sensualité, une délicatesse qui adoucissait la brutalité dont faisait preuve Fox. Le feu de la cheminée attisait leurs pulsions, leurs corps étaient comme possédés par un être avide de perversions. Leurs corps, se frottaient mutuellement, ondulaient comme les vagues d’une mer agitée, d’avant en arrière, leurs respirations étaient coordonnées à « ses flux et reflux des marées ». Une atmosphère de volupté envahissait la maison embrassant leurs corps moites. Une des deux déesse était montée en amazone sur Fox. Il caressait de ses mains son buste, ses mains tremblantes de plaisirs frôlaient ses seins, il sentait sur lui son souffle, il se redressa et plongea sa tête dans ses cheveux. Il sentait leur parfum suave qui ne l’excitait que davantage.
L’autre belle créature descendait le long de son dos avec sa langue et Sculler sentait les ongles de cette femme au corps de déesse antique griffer son torse d’une façon si intense, si bestiale, qu’il sentit au plus profond de son torse cette sensation de vertige comme celle que l’on ressent lorsqu’on tombe dans le vide.
Ils étaient tous trois arrivés au paroxysme de leurs jouissances, ils ne formaient plus qu’un être, une créature androgyne qui répondait elle-même à ses désirs charnels.
Ils avaient perdus la notion du temps et de l’espace, le monde qui les entourait était comme une mosaïque d’émotions.
Et d’un coup de reins languissant, ils achevèrent leur danse érotique.
Sculler était épuisé, érinté, et les deux créatures profitèrent de ce moment de faiblesse pour le poignarder violemment
et de multiples fois jusquà ce que son dernier souffle de vie soit extirpé de ce corps accablé de douleurs.
Et les deux douces jeunes femmes le charcutèrent et le dévorèrent comme le font les mantes religieuses après s’être accouplées.
Ainsi ce pervers agent du F.B.I. fut le dernier des disparus, après quoi les deux suspectes se sont évaporées dans la nature. Dana crut que Sculler était parti avec elles, ce qui n’aurait rien eut d’étonnant, étant donné le côté déraisonné et salace qu’il avait.
L’agent reparti donc chez elle et classa l’affaire avec aussi peu d’éléments que les autres, cette dernière affaire lui ayant emporté son partenaire ce qu’elle ne regretta en rien.