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Pocapétasse : une légende indienne


Il y a de cela quelques siècles, alors que maintes régions éparses de l’Amérique demeuraient inconnues, des bateaux de conquistadors accostèrent sur des rives de la côte Est de ce qui devint les Etats-Unis d’Amérique.
Non loin de ce rivage s’était établie depuis bien des générations une tribu indienne, les For nikas. Leur village était parfaitement situé. La terre était propice à la culture, ils étaient entourés de hauts et impressionnants arbres, et ils n’étaient pas trop loin d’un fleuve qui se jetait dans l’océan. Bref, la nature les avait placés sous ses ailes protectrices et tout allait pour le mieux du monde. D’ailleurs, pour remercier la nature et la terre qui les nourrissaient, ils organisaient des rituels de… fécondité, je crois qu’ils nommaient cela ainsi (« Foumoila » dans leur dialecte).
Ces rituels consistaient en de vastes orgies où tous les habitants « pubescents », si je puis dire, s’adonnaient à d’agréables jouissances durant vingt-quatre jours et vingt-quatre nuits ( Plus résistants que les européens, hein ? Enfin je parle pas pour moi. Parce que moi, de ce côté-là, je les éclate tous… Quoi ? Qu’est-ce que t’as à te marrer ?… Comment ça je suis un mitto ? Enfin, bref. Revenons-en à cette légende, « mirage de l’histoire », comme dirait Chateaubriand, moi je parlerais plutôt de miroir de la véracité humaine, mais bon… ).
Ces autochtones nourrissaient la terre de leurs sécrétions sexuelles pour la fertiliser, et pour que les prochaines récoltes soient encore plus fructueuses. Les deux indiens qui « fertilisaient » le plus étaient Rokkho et Pocapétasse. Et c’est la raison pour laquelle ils étaient les deux plus admirés de la peuplade.
Pocapétasse : 1m70, 55 kg, 90-60-90, teint matte, cheveux longs et noirs, lèvres pulpeuses (bouche à pipe si vous préférez), jambes longues et fines (pour ne pas dire squelettiques), bref : la version Disney.
Si elle était si « bandante » comme diraient les porcs que l’on nomme les hommes (la catégorie d’humains parlant à leur sexe et qui nécessitent le port d’un bavoir à la vue du sexe opposé…), c’est qu’elle était passé sous le bistouri du sorcier du village, le marabou plasticien Dr Grihnne. Et si elle avait eu les moyens de se payer les pratiques ancestrâles du sorcier, c’est qu’elle était la fille du chef de cette culture tribale (accessoirement aussi parce que le sorcier n’était pas proprio de son tipie, ce dernier exonéré par le chef du village qui avait érigé le système des taxes de tipition).
Rokkho : 1m81, 70kg, caraffe, bite hypertrophiée, cheveux courts, brun, beau petir cul (je ne suis pas homo pour autant…), un peu niais sur les bords, ne pensant qu’à la quéquette, bref: la version Canal +.
S’il a une si grosse queue, c’est qu’elle est éléphantiasique, c’est-à-dire atteint d’éléphantiasis. Je précise : l’éléphantiasis est une maladie parasitaire qui rend la peau rugueuse comme celle d’un éléphant et qui, parfois, produit le gonflement des tissus (ici de l’ithyphalle).
Pocapétasse était promise à Rokkho (grosse bite avec gros seins, la copulation était inéluctable).
Mais l’arrivée des côlons (pas la partie du corps mais les immigrants) vint bouleverser l’harmonie de ces « bons sauvages » de Rousseau…
Le commandant de bord était un vieux tas repoussant, ne pensant qu’à l’argent mais avant tout d’un rascisme innommable. Son bras droit, John Smith, blond, la trentaine, belle gueule, bien foutu, beau parleur, misogyne et proxénète, bref : le genre de mecs sur lequel bavent toutes les femmes ; l’avait accompagné pour s’emparer de quelques « femelles sauvages » comme il disait, afin de les livrer à la prostitution et ainsi s’enrichir allègrement sur le dos de ses pauvres demoiselles.
Cette crapule, avec une poignée d’acolytes sexistes et alcooliques, partirent donc à la recherche de quelques cultures tribales à extorquer.
Ils tombèrent tout d’abord sur des indiens peu… « sociables », du fait, peut-être, qu’ils étaient anthropophages, mais aussi et surtout parce que leur plat préféré était la verge truffée aux noix. Ce qui, aussi surprenant que cela puisse être, préoccupa légèrement nos explorateurs. Heureusement, John Smith et une partie de son crew est parvenue à s’enfuir ; quant aux autres, eux, les pauvres, malgré le fait qu’ils ont été partiellement épargnés, n’ont plus jamais pu écrire leur nom dans la neige sans leurs mains.
Fâché de ce contre-temps, ils se précipitèrent vers un autre village. Là encore, les habitants avaient de rustres manières. Ils saisirent trois membres de l’équipage de John Smith et leur proposèrent un ultiumatum. Le chef s’approcha des prisonniers et dit : « Je vou lanse hein défi : soa vou choisicé la mo’, soa la thund’a. » Le premier prit la thundra : tous les mâles de la tribu accoururent vers lui et l’enculèrent un par un. Puis, les larmes aux yeux et le cul en choufleur, il rejoignit John et sa bande. Le second prisonnier, qui ne voulait pas mourir, prit la thundra aussi. Le pauvre, il avait des hémorroïdes… Le troisième, qui avait intense soit peu d’honneur dit : « Je préfère choisir la mort ! ». Le chef indien, le sourire jusqu’aux oreilles le regarda et continua : « La mo’, oui, mè la mo’ pa’ thund’a ! ». Je vous laisse imaginer ce qui lui arriva… ( Je sais, cette blague de la thundra est connue, mais que voulez-vous, j’avais le complexe de la page blanche… et donc j’ai cédé… et j’ai recopié. Je suis prêt à expier, allez-y ! flagellez-moi ! Oh oui ! encore ! encore ! enco… euh, désolé !) Le peu d’hommes qui restaient à Smith accompagnèrent ce dernier, certains marchant en cow-boy, jusqu’au fameux village de For nikas.
Ecologistes avant l’heure, les membres de cette communauté s’addonnait, de nouveau, et avec ferveur, à la fertilisation de la terre.
Le petit groupe d’explorateurs, sévèrement coïtés, fut émerveillé par ce grandiose et alléchant spectacle. Et, par politesse, ils se plièrent aux coutumes de la peuplade…
Smith a tout de suite été séduit par Pocapétasse : « Une grande dame » comme on disait à l’époque, ou « Une belle salope » comme on dit de nos jours… Elle avait une poignée si agile lors de la masturbation, un dos si docilement cabré lors de la levrette, que Smith se précipita sur elle pour ajouter sa « petite » contribution à la giant partouse mystique de ce village. Quant à Pocapétasse, elle fut enjouie, euh enjouée (décidément je suis pas drôle…) par l’attentionnée mais indéniable « petite » contribution occidentale de John Smith. Ce dernier, après s’être soulagé, se dirigea vers le grand schtroumpf et proposa, en échange de quelques carabines, quelques caissons d’alcools, et un chèque vacances d’un montant de 24 eureus (la monnaie eureupéhaine (c’est lamentable…)), d’embarquer quelques femelles pour leur offrir un stage de formation en europe, dans les plus prestigieuses maisons closes, pour devenir des Marie-couche-toi-là de luxe. Le chef n’ayant à peu près rien compris (probablement tout comme vous (il faut avouer que ces parenthèses successives sont légèrement « déroutantes », et particulièrement pertinentes je vous le concède… Vous souvenez-vous de quoi je parlais avant que je n’interrompe le fil de l’histoire ? C’est chiant, hein ? Bon, allé, j’arrête.), et ayant vidé deux bouteilles de sky, dit à Smith de se servir. Il saisit Pocapétasse et quelques adolescentes (pour les hommes d’Eglise occidentaux, pédophiles et messagers de Dieu : n’est-ce pas un pléonasme ?) ; mit le village à feu et à sang, revint à leur embarcation et demanda au capitaine de lever l’ancre, la mission étant accomplie. Et, durant les quelques mois de trajets, les pauvres jeunes filles assouvirent tout l’équipage, du jeune matelot (à qui était auparavant décerné cette tâche de « vide-burnes ») au canard boiteux puant l’alcool et fourmillant de maladies infectieuses…
Arrivée en Angleterre, Pocapétasse grossissa, grossissa, s’enlaidissa, dandinnait péniblement du cul avec une heure de décalage entre les fesses, tout le bas-ventre pustulant, s’offrant à des lèpreux, des cul-de-jatte, des infâmes mais richissime industriels ou politiciens, et tout ce qui étant en mesure de payer…
Et Pocapétasse et John Smith se marièrent, vivèrent heureux et eurent beaucoup, beaucoup d’enfants (non, j’déconne ! C’est pas un Walt Disney là ! non mais des fois, y en a, ils croient tout ce qu’on leur dit ! Pfff ! A part des gonocoques, ils n’eurent pas grand chose !)

© Shrykull : Pocapétasse : une légende indienne


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