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Hencule II
Les douze travaux d’Hencule


Il m’était impossible d’abandonner un personnage aussi attachant que ce Hencule. Il était même de mon devoir de continuer de vous narrer ses aventures aussi crades qu’invraisemblables, mais dans la mythologie, tous les débordements sont permis.

Un jour, alors que Hencule organisait et participait activement à une orgie au village de Foumoila, un vieux sage qui était à sa recherche depuis de mois l’interpella :
- « Ô, grand Hencule, quand tu auras fini d’embrocher ses femelles, un de tes humbles serviteurs souhaiterait t’informer de quelques aventures qui t’attendent.
- Eh merde !Pourquoi n’est-ce jamais une jeune femme plantureuse qui vent m’en informer ? » dit Hencule en se refroquant.
Puis ils allèrent tous deux dans la caverne du vieux sage.
- «Alors comme ça, j’aurais douze travaux à effectuer pour récupérer ma divinité ?
- C’est cela même. Pour être accepter des Dieux, notamment de votre père Phallus, il vous faut réussir ces douze défis.
- Et quels sont-ils ?
- Je ne pourrais te les dire que progressivement, chaque fois que tu réussiras un défi, je te dévoilerais le suivant.
- Soit. Quel est le premier ?
- Suis-moi.
Et les deux mâles allèrent jusqu’au mont Anus et s’arrêtèrent au pied.
- «En haut de cette montagne, là où les neiges sont éternelles, règne Le Dieu Misogynus, qui n’a jamais laissé paraître le moindre sourire.
- Grave. » répondit Hencule après avoir longuement réfléchi.
- « Ton but est de le faire rire. »
Alors Hencule s’empressa de gravir la falaise et s’aperçu avec effroi que tous ses efforts étaient vain : il y avait effectivement un ascenseur qui descendait au niveau moins vingt-quatre où squattait Misogynus.
Cette montagne recouvrait en effet un abîme sans fond, une sorte de trou noir. C’est d’ailleurs comme ça qu’une partie « profonde » de notre corps porte le nom de cette montagne.
- « Bonjour ?» lança Hencule lorsqu’il se trouva en face du Dieu.
Stoïque, il avait un regard livide.
- « C’est pas la forme hein ? » se risqua Hencule en tentant de nouer le contact.
- « Bon, je me lance. Quelle est la différence entre une femme et un gant de boxe ? »
Un blanc se fit.
- « Dans le gant de boxe on ne met que cinq doigts ! »
Le Dieu se mit à pouffer discrètement de rire.
- « Et quel est le point commun entre une blonde intelligente et un OVNI ? »
Le Dieu, un sourire en coin, attendait la réponse :
- « On en parle tout le temps mais on en voit jamais ! »
Misogynus avait de plus en plus de mal à se contrôler.
- « Et qu’est-ce qu’une blonde assise les jambes écartées dans un coin ? »
Le Dieu attendait impatiemment la réponse :
- « Un humidificateur ! »
Notre Demi-Dieu porta alors le coup de grâce sans laisser de répits à Misogynus :
- « Quelle est la différence entre une femme et une haie ? A la haie, on n’a pas besoin de dire « je t’aime » pour la sauter ! »
A ce moment, le Dieu explosa de rire, en avait les larmes aux yeux et lui fit signe de reprendre l’ascenseur.

Une fois arrivé en bas, le sage, impressionné de la rapidité dont a fait preuve Hencule, le regardait bouche bée :
- « Bon, quel est le suivant ?
- Vou,vous devez réréussir à vaincre le Minotaure du labyrinthe de Dédalle et me ramener une de ses cornes.
- Facile. » dit Hencule, et le duo se rendit au labyrinthe de ce Dédalle.
Le vieil homme resta à l’entrée et Hencule entra.
A l’entrée, une jeune femme blonde derrière un comptoir proposait certains objets de survie :
Fil d’Ariane, sandwichs, bières, cigarettes blondes, feuilles OCB, marijuana et guides touristiques du labyrinthe.
- « Je n’ai pas d’argent, mais je suis sûr que je peux te payer en nature.
- Pourquoi pas ? » susurra la jeune femme en léchant un crayon.
- « Tu me tailles une pipe ?
- Je sais pas, j’ai jamais essayé.
- C’est comme si tu suçais un gros bonbon.
- Ah bon ?
- Ouais, un gros bonbon à la cerise fourré au miel. » (ce passage est tiré de Scary Movie)
La blondasse s’agenouilla alors devant le fils de Phallus et commença à prendre en bouche sa queue qui était de la taille d’une énorme saucisse de choucroute bien grasse et charnue.
Mais malheureusement, Hencule n’a pas encore su se retenir et sperma d’un jet si fort que la tête de la femme partit s’éclater contre le mur, alors que le foutre coulait à flots. On aurait dit qu’on débouchait une bouteille de champagne.
Déçu, Hencule prit tout ce qu’il y avait sur le comptoir sauf ce fil d’Ariane qui ressemblait à une grosse pelote de laine.
Après s’être roulé quelques joints pour la route, il ouvrit le guide touristique et s’alluma un cône tout en se dirigeant vers l’antre du Minotaure.
Un duel sans merci s’annonçait : « Bite d’âne » contre « Tête de taureau ».
Puis Hencule, totalement défoncé, se retrouva face au Minotaure :
- « Tu veux tiser ? » demanda-t-il déchiré.
Le monstre se contentait de pousser de long grognement de mécontentement.
- « J’ai jamais encore ramoner un homme à tête de taureau. Des femmes grosses comme des vaches, plusieurs, mais quelque chose comme toi, jamais. »
Puis le monstre l’attaqua et Hencule tant bien que mal dut répliquer.
L’affront dont a fait preuve le Minotaure à causer sa perte : Hencule le contrôla par les cornes, se défroqua et le sodomisa.
- « Je vais te racler la gorge maudite bête ! » répétait-il.
Et en effet il lui racla la gorge, c’est d’ailleurs de cette façon que le Minotaure trépassa : étouffé.
Puis abandonnant l’homme-taureau dans un bain de gelée blanche, jaillissant de sa gorge, Hencule lui arracha une corne.
Se roulant un dernier stick, Hencule interrogea le vieil homme sur le prochain défi qui l’attendait.
Non loin de là, se trouvait un couvent où vingt-quatre jeunes filles avait fait vœu de chasteté. Sa mission :les initier aux plaisirs de la chair.
La lune s’élevait peu à peu dans le ciel parsemé d’étoiles, plongeant la plaine dans l’obscurité pour n’éclairer que le lieu ecclésiastique.
Hencule se dirigea précipitamment vers le couvent et frappa fermement à la porte.
Une jeune pucelle lui ouvrit la porte amicalement, il la plaqua contre le mur, souleva sa toge, et la « déshymeniser ».
Une des autres sœurs entendit les cris, se dirigea vers l’entrée et assista à la perforation de sa camarade. Mais, béate d’admiration devant la taille du pénis du fils de Phallus, elle se contenta d’inciter ses amies à la rejoindre.
Ses partenaires arrivèrent et se jetèrent sur lui, ou plutôt sur son pénis ? Hencule n’avait qu’à se laisser masturber, piper et tout ceci le vexa. Il préférait violer : c’était plus drôle.
Mais ses jeunes filles avides de semence bien consistante (le sperme est effectivement très riche en protéines et autres trucs dont j’ai oublier le nom. Donc, au lieu de prendre un verre de jus d’orange mes petites chéries, prenez un bon bol de foutre, sa requinque bien.).
Et c’est avec une grande amertume que notre pauvre et pathétique Hencule sortit de ce couvent, après les avoir toutes dépucelées et aspergées de jus blanc.

Après un long soupir, Hencule, une larme ruisselant sur sa joue, demanda au vieux sage :
- « Quel est le prochain supplice ?
- Un certain Hérode Le Grand érigea un second temple à Jérusalem pour des monothéistes. Ta mission est de détruire ce Temple.
Et Hencule parti donc pour l’Israël.
Arrivé là-bas, il se retrouva nez à nez avec un Temple de plusieurs vingtaine de mètres de haut.
Notre Héros était pressé d’en finir avec tout ça, mais savait aussi que les pratiquants et les habitants ne le laisseraient pas faire son travail en paix. Il dut donc commencer par la population.
Ils les captura un à un et les enchaîna à la muraille ouest du grand Temple.
- « Allez les amis on baisse chacun sa culotte et on écarte bien les fesses. »
Pas la peine de vous narrez en détail ce qui arriva à ses croyants. Et ça n’est pas pour rien que le Mur des Lamentations est l’unique vestige de la muraille ouest du grand Temple. D’ailleurs, il ne c’est pas toujours appelé le Mur des Lamentations, après le départ de Hencule, c’était le Mur des Sodomisations.

Le vague à l’âme, le Demi-Dieu, retourna au pays, un peu triste de ne pas avoir pu prendre de photos de son séjour à l’Empire Byzantin.
- « Tu sais que nous n’apprécions guère ses monothéistes ; tu vas leur prouver que commettre les sept péchés capitaux, en vingt-quatre semaines dira-t-on, ne t’amènera aucun ennui.
- Beuah. » acquiesça Hencule, exténué par son voyage.
Et ainsi Hencule pouvait calmement se détendre en exécutant paisiblement les sept péchés capitaux qui sont :l’orgueil, l’avarice, la gourmandise, l’envie, la luxure, la colère et la paresse. (Ils ne sont pas en eux-mêmes des péchés, mais des « vices », c’est-à-dire des tendances à commettre certains péchés.)
Hencule décida pour cela d’aller en centre-ville. Il se logea dans la suite la plus luxueuse de l’hôtel le plus chic. Il paya avec la MasturbCard® (pour payer en liquide) que la “Word Company of the twelve Works™®©”(compagnie mondiale des douze travaux) lui avait donné.
Pour l’orgueil, Hencule s’auto-fellicitait vingt-quatre fois par jour en se filmant et se regardant devant une glace en se disant « je t’aime ». (un peu comme Narcisse).
Pour l’avarice, il s’amusait à dérober la nourriture au restaurant pour ne pas avoir à la payer.
Pour l’envie et la luxure, il convoita la femme d’un homme qu’il connaissait et effectua avec elle toutes les positions du Kama Satrou.
Pour la colère, il se déchaîna furieusement sur l’homme qu’il venait de faire cocu sous prétexte que sa présence l’insupportait.
Pour la gourmandise et la paresse, il les assaisonna un peu à la luxure en appelant quelques filles de joies dans sa suite. Il les enduisit de miel et les lécha dans les moindre recoins. Puis il ne quitta pas son lit durant vingt-quatre jours tout en continuant à se faire vider par les princesses de la rue.
Le vieux sage, qui servit de témoin pour confirmer les dires de Hencule, en profita un peu aussi. Mais les ébats sexuels de nonagénaires c’est pas franchement bandant.

Le sixième des douze travaux de Hencule était assez exotique. Il devait résister au chant des sirènes (et plus si affinités) sans pour autant se noyer en les suivant dans les profondeurs de l’océan.
Hencule, accompagné de son guide, louèrent une barque et partirent tous deux à la rencontre de ces sirènes. Le vieux sage, alors qu’ils étaient sur les flots dit à Hencule :
- « Attache- moi à ce mat avec une corde et fais-en de même pour toi ! Leurs chants sont envoûtants et causeront notre perte si nous ne résistons pas !
- Blasphèmes ! Je t’attache si tu veux, mais moi je reste comme tel.
- Ces monstres habitent trois îlots au large d’Amalfi et charment tous les navigateurs qui s’y aventurent et tenteront vainement de t’attirer.
Hencule ligota solidement le retraité et attendit la venue des sirènes. Soudain, leurs fraîches voix entonnèrent un cantique :
LE CHŒUR. - « Viens ici ! Viens à nous ! Hencule tant vanté ! l’honneur de Foumoila !… Arrête ton croiseur : viens écouter nos voix ! Jamais un noir vaisseau n’a doublé notre cap, sans ouïr les doux airs qui sortent de nos lèvres ;puis on s’en va content et plus riche en savoir, car nous savons les maux, tous les maux que les dieux, dans les champs de Troumoi (ancienne contrée du nord-ouest de l’Abite Mineure, dont la ville principale est la cité antique de Doigte), ont infligés aux gens et d’Ergot et de Doigte, et nous savons aussi tout ce que voit passer la terre nourricière. »
LE VIEIL HOMME monologue intérieur . - « Elles chantaient ainsi et leurs voix admirables me remplissaient le cœur du désir d’écouter. »
Le vieil homme fronçait les sourcils pour donner à Hencule l’ordre de le défaire, mais Hencule n’en fit rien. Il était plus préoccupé par les sirènes :
HENCULE. - « Dites-moi les filles, est-ce que vous avez des chattes ? Non, parce que sinon, vous pouvez que pipez et c’est pas franchement le top ! »
LE CHŒUR. - « Viens nous rejoindre, et tu jugeras par toi-même.»
Hencule en captura une . - « Allez, au boulot chérie ! Pompe-moi le gland je te dis ? »
La pauvre sirène capturée mourut asphyxiée, du moins c’est ce que le médecin légiste a écrit sur son rapport. Les autres sirènes, outrées et surprises de ne pas avoir envoûté leur proie, plongèrent aux confins de l’océan. (passage inspiré de l’Odyssée de Homère)
Hencule, de nouveau déçu, détacha le sage et lui demanda de nouveau le prochain défi.

Pour ce septième travail, il devait retourner sur la terre ferme. Ce dernier consistait à hériter du pouvoir d’Eole, le dieu des vents. Par chance, Hencule lorsqu’il était encore parmi les dieux, avait arrangé quelques rancards pour Eole avec des Nymphes, et ce dernier lui était donc reconnaissant.
- « Salut vieux frère ! Quid novi ? (qui signifie « quoi de nouveau ?», locution latine très fréquente chez les dieux banlieusards)
- Rien de bien intéressant, si ce n’est que grâce à toi, ma descendance est solidement assurée.
- Justement, j’ai une faveur à te demander. Pourrais-tu m’offrir ton pouvoir, ou du moins le partager.
- Je te dois bien ça.
Et c’est ainsi que Hencule eut le pouvoir d’Eole. (Malheureusement, Babar de l’omocrew, son descendant, en a hérité. Et c’est pitoyable, car les vents il s’en tape à chacune de ses vannes) Le vieux sage voulait une preuve de la réussite de Hencule, alors, le demi-dieu sortit une vanne bien pourrie qui déclencha un cyclone dévastateur sur les côtes méditerranéennes. Mais lisez plutôt, vous en jugerez par vous-même :
- « Tu connais l’histoire de Zip la Girafe ? Bah c’est une girafe dans une voiture, la voiture passe sous un pont et « zip » la Girafe ! »
Pathétique n’est-ce pas ?

Mais passons plutôt au huitième des douze travaux de Hencule. Un défi 100% gay !
Le jeu préféré des athlètes grecs était le cache-cache à poil, et bien sûr, ici, Hencule jouait le grand méchant loup. Et si en vingt-quatre minutes il n’avait pas trouvé et ramoné tous les athlètes, il échouerait dans sa quête de la divinité.
La scène se jouait dans un vaste champs d’herbe folle, parsemé d’arbres et de bosquets.
- « Bon, je compte jusqu’à vingt-quatre et le dernier à être caché est un vilain garçon qui aura la fessée ! »
Les athlètes se précipitèrent à se cacher, car la nudité de Hencule (règle n°2424 du jeu qui stipule que tous les participants devaient être nus) leur dévoilait l’énorme verge qui allait dilater leurs anus.
Une fois qu’il fut arrivé à vingt-quatre, Hencule commença à chercher ses petits coquins de camarades.
Des pauvres grecs la peur au ventre, ou plutôt au cul, étaient grimpés aux arbres. Hencule les secoua un à un et les jeunes Apollons en tombèrent comme des fruits mûrs. Hencule, en deux temps, trois mouvements, fertilisa leurs anus et continua à chercher dans les hautes herbes. Derrière un bosquet, un athlète était à quatre pattes et n’avait pas vu venir Hencule par derrière. Et ce dernier le pris aussi par derrière.
Progressivement, tous les sportifs grecs eurent le cul en feu et Hencule put passé au défi suivant.

Le neuvième travail réchauffait le cœur, et la gorge. En effet, Hencule devait boire vingt-quatre litres de liqueur de chêne sans être bourré.
Défi pour le moins facile, car avec la dextérité dont il faisait preuve, il s’était déjà pratiqué lui-même des fellations.
Le barman du bar « Au bonheur des folles » en resta bouche bée. Tout son stock de semance bien grumelée s’était épuisé et Hencule avait encore soif, car le petit jeu avec les grecs l’avait éreinté.
Le barman, en pleure, alla confirmer la nouvelle réussite de Hencule au vieil homme.

Le dixième des douze travaux était un peu plus spirituel. Hencule devait répondre à une énigme.
Un homme âgé de quelques siècles lui posa cette question :
- « Qu’est-ce qui marche à quatre patte à sa naissance, vit par la suite sur deux pattes et finit sur trois ?
- Un homme complexé par la petitesse de son pénis : quand il est à quatre pattes, il n’y prête pas attention car il est encore enfant, adulte il s’en fait greffer une énorme, et comme à la fin de sa vie tout se tasse sauf sa queue, il finit sur trois pattes.
- Tu es plus intelligent que tu ne paraît, vas, tu peux continuer ta quête.

Vint le tour de son avant-dernière mission. Cependant, le vieux sage qui avait des problèmes cardio-vasculaires et avait déjà eut quelques accidents thromboemboliques-artériels (le tabac) partit vers un monde meilleur. Heureusement il lui laissa deux mallettes contenant chacune un petit ordinateur où lui était expliqué ce qu’il devait effectuer. Hencule ouvrit la première et tout s’alluma automatiquement :
- « Bonjour Jim, euh Salutations Hencule ! Les amazones sont un peuple de femelles guerrières. Elles descendaient d'Arès, dieu de la Guerre et de la nymphe Harmonie (une sacrée salope). Vivant sans homme, elles avaient quelques relations avec ceux des pays voisins, mais ne gardaient que les petites filles ; les garçons étaient renvoyés à leur père épargné ou tués avec ceux qui ont été tués. Elles manipulaient l'arc, aussi certains disent qu’on leur brûle le sein droit pour faciliter cet exercice, (d'où leur nom d'amazone signifiant en grec «sans poitrine»), mais rassure-toi, elles sont en fait de très belles femmes sans mutilations. Le problème est qu’elles sont presque toujours en guerre avec la Grèce même si elles se battent également avec d'autres peuples. On situe la contrée des Amazones en Scythie, du côté de l'Asie Mineure, sur les bords de la mer Noire. Votre mission est, si vous l’acceptez, d’éradiquer ce misérable peuple. Comme toujours, si vous êtes capturé ou tué, l’Olympe niera avoir eut connaissance de vos agissements. Cette mallette s’autodétruira dans 5 secondes. »
Hencule qui était en train de s’auto-felliciter devant les images d’ordinateur des Amazones n’a pas prit attention à l’alerte d’autodestruction, et lorsque la petite valise lui explosa à la verge (rassurez-vous, il n’a eut que quelques égratignures), il jura de prêter plus attention à ce que lui dirait le vieux sage la prochaine fois. Puis Hencule partit tout-feu tout-flamme vers les contrées lointaines de l’Europe. Si Hencule va si rapidement à chaque déplacement, ce n’est pas parce que j’ai la flemme de vous décrire ces trajets, mais parce que notre Héros a subtiliser les « Nike Eagle » de Hermès, et ainsi il court grave trop vite dans ses chaussures de racailles qui nique sa pute de mère (pardon pour ce dérapage).
Lorsqu’il arriva à bon port, il vit ces féministes pures qui attaquaient des villages, enlevaient les hommes, assouvissaient leurs besoins naturels et les tuaient. Notre cher Demi-Dieu fut des plus amusés de voir à l’œuvre ces indigènes. Mais malheureusement, il devait en finir avec elles. Dans quelques figures gores notamment, ils les empala sur sa teub’ une à une et leur dilata le minou jusqu’à ce qu’elles en crèvent. De cette rencontre mythiques naquit la fameuse position dite « en amazone » du Kama Sutra (100% pour son plaisir si vous voyez ce que je veux dire messieurs). Le fait que ces conquêtes décédèrent de nouveau, lui rappela avec amertume sa première poupée gonflable que son père lui offrit à l’âge de deux ans et qui éclata deux jours après (déjà tout petit il en avait une toute grosse). Il a vraiment eu une enfance douloureuse…

Enfin le dernier de ces douze travaux consistait à tuer un pâle imitateur de notre Héros : un certain Héraclès, de nom latin Hercule (tout pourri comme nom). Mon avis sur les travaux de cette vulgaire imitation est que ça relevait plus de la zoophilie et de la violence que la douce histoire que je vous conte.
Et Hencule pensait la même chose, c’est pourquoi en ce faisant passer pour Hercule, il viola la mère de ce dernier histoire de le couvrir de honte et lui faire perdre sa divinité pour le tuer plus facilement par perforation anale. Attaquons-nous à ce morceau bien charnu de son dernier et glorieux défi. Alors que Hercule (décidément je ne me fait pas à ce nom) rentrait chez lui (il vivait encore chez sa mère) il vit sa mère nue, les quatre fers en l’air, le vagin de la taille d’une grotte et Hencule en train de ce rouler un joint. Prit de colère, Hercule se jeta sur Hencule et ce dernier l’immobilisa à terre, le défroqua et lui cassa le cul. Pour marquer le coup, il effectua douze pénétrations, une pour chaque travail que cette pâle copie osa accomplir.
Lorsque Hencule l’acheva, son père, Phallus, le rappela à l’Olympe et lui rendit sa divinité en lui disant : « Tu quoque filii » (toi aussi mon fils tu es un sacré queutârd sous-entendait-il par ces paroles devenues historiques et reprit à défaut par un certain César je crois à son fils adoptif Brutus).

© Shrykull : Les douze travaux d’Hencule


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