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Le Finger…


Tout commença lors d'une nuit lugubre alors que deux "grandes folles" prenaient leur pied dans le bosquet d'un parc. Quand soudain, un doigt descendit le long du dos de Jean-Charles pour aller se fourrer dans son anus. Alors qu'il avait un orgasme, Stephen s'interrogea de cette soudaine gaieté. "Mais que t'arrive-t-il ma grande folle?"
"C'est ce petit doigt que tu me mets mon cochon!!"
"Moi! Un doigt! Tu plaisantes!"
"Quoi!??"
Dès lors, le doigt décupla ses forces, se démultipliant, devenant une main.
Elle sortit de la caverne organique, et agressa Stephen au visage, le défigurant atrocement avant de le prendre au cou. La main serrait de plus en plus fort, inexorablement, jusqu’à ce que son dernier souffle s’envole avec sa vie.
Jean-Charles, pétrifié, horrifié par ce triste spectacle resta bouche bée et la main le tua aussi violemment que Stephen sans même qu’il ait eu le temps de remonter son pantalon.
Ainsi débuta cette horrible histoire, par la mort de deux jeunes et innocentes victimes...

Cette affaire perturba tout le monde à MadCity, personne ne savait qui ou quoi était à l’origine du décès de ces deux jeunes, studieux et virils garçons. Toute l’équipe de rugby du lycée dans lesquels jouaient ces derniers décida d’enquêter.
Jean-Marie, le chef d’équipe organisa une réunion (de toute l’équipe) dans les douches du vestiaires du stade histoire de « prendre les choses en main ».
Cette « prise en mains » consistait en un jeu appelé le jeu de la biscotte. Cette activité très répandue à MadCity consiste à se masturber en songeant à un thème ou en regardant quelque chose de particulier. Le dernier à s’être « soulagé » doit manger la biscotte qu’on pourrait dire « beurrer de la semence des autres participants ». Le perdant fut ce jour-là Bruno considéré d’habitude comme précoce. Après que les choses furent prises en main, ils décidèrent de se remémorer ces instants suaves passés avec les deux disparus.
« Bon, maintenant, il faut s’organiser pour trouver les pleutres qui sont à l’origine de ce massacre ! » s’exclama Bruno, après avoir ingurgité sa tartine.
« Nom d’une pipe sans tabac et d’un canard laqué ! Il a raison ! » a soutenu Jean-Marie.
Alors la réunion dura des heures et des heures jusqu’à ce qu’ils aient élaboré un plan et conclu par leur cri de guerre sportif qui leur donnait force et courage :
« WWWWWWAAAAAAAASSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS UUUUUUUPPP !!!!!!!!! ».
Puis ils sortirent prendre l’air.
« Bon les filles on s’roule des pet’ et on s’descend quelques bières histoire de… ! » proposa Bobby le plus sage de l’équipe .
« Wass up !! » s’exclamèrent les autres d’un ton approbatif.
Ils se défoncèrent toute la nuit et dans tous les sens du terme, jusqu’à ce que la première lueur du jour caresse délicatement leurs corps dévêtus, affalés dans l’herbe du skate-parc, qui se situait près du bois de Bouffonnes. Ils se réveillèrent doucement, paisiblement finissant leur dernières bouteilles de bières.
Jean-Paul leva les yeux vers le bois de Bouffonnes et révéla aux autres une légende macabre qui planait sur ce sombre endroit :
« Il faut que je vous dise quelque chose, qui, je crois, pourrait être en rapport avec l’homicide dont ont été victimes nos confrères. Il existe une légende selon laquelle une sorcière vivrait dans ce bois et où d’autres atrocités, des femmes je veux dire, y apprennent la magie noire. Leur reine leur a fait faire un pacte selon lequel elles devront convertir tous les hommes à l’hétérosexualité. »
Tous ses auditeurs étaient effrayés à l’idée de croire que cette légende s’avèrerait être réelle.
« Ce n’est pas tout, pour sceller ce pacte, la reine se coupa l’index de la main droite, avec lequel elle avait coutume de se cajoler le clito, et lui donna vie et intelligence en prononçant les paroles suivantes :
- Ce pacte est le pacte des Sbooms et ce doigt tuera tous les hommes susceptibles de rester homosexuels, quant à vous, femmes, vous vous occuperez de convertir tous ceux qui pourront l’être, est-ce compris ? »
Mais Jean-Paul fut interrompu par les cris de deux jeunes hommes. Ces cris provenaient du bois, et étaient accompagnés de bruits orgasmiques et de jouissances féminines. Dès lors, il n’y avait plus de doute, la légende venait de se concrétiser…
Alors ils se sont enfuis, le sang glacé par ces bruits dégoûtants qui leur étaient parvenus jusqu’aux tympans.
Mais qui allait les croire ? Qui pouvait les aider ? Personne.

Le soir, pour se changer les idées, ils décidèrent de se retourner l’cerveau, de se griller les neurones.
Jean-Pierre avait eu un flash pendant la nuit, un flash assez alléchant, celui de faire un bang au bois bandé tout en sniffant un peu de poppers. La joyeuse troupe décida de tenter le coup et l’effet fut assez concluant. En effet, le lendemain ils prirent conscience des actes qu’ils avaient commis la nuit d’avant :
Des deux orifices
Que les dieux leur ont donnés,
Ils décidèrent, dans le moins lisse,
D’achever de s’abandonner,
Une décharge de six mille volts
Gicle de leurs pylônes
Et leurs reins alors se révoltent
D’un coup d’épilepsie synchrone
(pour reprendre des paroles d’une chanson de Serge Gainsbourg, un peu remasterisées ).
Bref, ils s’étaient cassé l’cul toute la nuit. Et, inconscients du danger qui les gayttait, ils perdurèrent à se vider jusqu’à ce que leur triste destinée s’accomplisse. Lassés de toujours perpétuer les mêmes actes, et tentés par de bônnes et vicieuses jeunes filles à la fouf’ et à l’anus fraîchement mouillés, ils se laissèrent convertir. Et la communauté masculine homosexuelle de MadCity s’éteignit, tout comme l’étincelante lueur de gayté qui animait leurs regards avides de perversions.

© Shrykull : Le Finger…


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