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Comme le titre de cette histoire l’indique, il est dur de se séparer de cet hurluberlu de demi-dieu chevaleresquement bien monté.
Je tiens à préciser que toutes ressemblances avec un héros de dessin animé seraient totalement fortuites, et je tiens aussi à m’excuser d’avance au nom de l’auteur indécent (c’est-à-dire moi-même) dont les écritures sont ici des plus choquantes (comme à son habiterude, euh habitude (oui je sais c’était petit (mais il fallait oser ! (je sais, je suis ridicule (c’est rien de le dire(bon je vais arrêter avec les parenthèses (si,si, je vous jure (et de suite (bon cette fois-ci c’est la bonne))))))))).
Revenons à l’avant-dérapage de ci-dessus, et resituons l’histoire que vous allez peu à peu découvrir: Hencule, las de se taper les déesses de l’Olympe, décida de retourner parmi les humains, dans une ville dont il eut d’alléchants échos : Godham City :
- « Père, je vous en conjure, si je reste ici, ma sexualité va sombrer dans une profonde et irréversible désuétude !
- Soit. Mais prends garde à toi, tu t’es fait connaître de tous les humains, tu devras rester discret.
- Oui, je sais père, mais je crois avoir déjà résolu ce problème… »
En effet, pour une fois il avait fait preuve d’une très grande ingéniosité: il s’était créé une double identité: il serait Broute Wayne, richissime industriel, mais aussi Bitman, justicier pervers et profiteur.
Godham City avait besoin d’un justicier, car le mal régnait sur la ville. Afin de protéger son identité de Broute Wayne, Hencule devait se confectionner un costume de Héros : une cape en cuir, deux capotes (taille Babar) en guise de collants, un slip kangourou par dessus, un god-ceinture et des Nike Cachalot.
Les puissances maléfiques squattaient donc à Godham et avaient pour nom Double-Fesse, Catwoman et Poison Ivy. Ils se réunissaient lors de petites beuveries pour discuter des prochains coups à tirer à Godham.
Hencule, alias Broute Wayne, Alias Bitman, logeait dans un somptueux manoir, avec pour larbin un vieux pervers exhibitionniste nommé Felard (anagramme d’Alfred). Hencule avait une panoplie de gadgets de justicier : un pistolet à sperme (‘qu’il rechargeait lui-même), une bitmobile ultra-équipée, un bitjet et j’en passe…
Godham était donc sous l’emprise des méchants et Hencule devait intervenir (et se faire quelques demoiselles par la même occasion).
Double-Fesse organisait une gigantesque quéquette-party dont les participantes se faisait fracturer le coccyx un peu contre leur gré. Il était donc du devoir de Bitman de les sauter, euh, de les sauver.
Double-Fesse avait une tête à faire soulever les bouches d’égouts, et comme son nom l’indique, sa physionomie faciale ne l’aidait pas. Ce dissolu licencieux tenait un club d’échangistes, où, tous les premiers samedis du mois, il bouquinait les plus délicieuses et farouches femmes de la ville. Bitman, outré par l’avanie que Double-Fesse faisait subir à ses pauvres femmes, entreprit de les venger.
Alors que les festivités avaient commencé, notre éphèbe qui batifolait déjà fut très vite interrompu par l’arrivée « fracassante » de notre héros. Un cône à la main, en tenue de combat, il s’approcha de Double-Fesse :
- « Tu veux tirer sur mon cigare à moustache ?
- Comment oses-tu me parler de la sorte sal bâtard !
- Bâtard peut-être, mais moi, j’ai une grosse bite ! »
Hencule prit alors entre ses mains le cul faciale de Double-Fesse et lui sodomisa le cerveau, le gueux périt sur le coup.
Sur ce, les hommes du caïd sortirent leurs armes et s’apprêtèrent à tirer sur Hencule lorsque celui-ci dégaina son pistolet à foutre et les aspergea d’un jet si puissant qu’ils se retrouvèrent plaqués au mur. Notre héros libéra ensuite les pauvres femmes, après avoir goûté aux caresses de certaines donzelles de bonne volonté :
- « Vous direz aux autorités que votre ville à un nouveau justicier, et il s’appelle Bitman ! »
Et sur ces paroles, Hencule prit la fuite...
Le lendemain, au manoir de Broute…
- « Maître, vos exploits de la veille font la une de toutes les revues de presse, ce matin !
- Que veux-tu. Pour une fois que ce sont leurs agresseurs qui sont agressés…
- Vous avez certainement raison M.Wayne.
- Je t’en prie, appelle moi Broute. »
Hencule prenait son dîner, et regardait par la même occasion un film de boules intitulé « Rambit® », quand Felard l’interrompit en pleine masturbation :
- « Je crois qu’il y a un nouveau travail pour Bitman… »
Felard fit signe à Hencule de regarder par la fenêtre : dans le ciel nuancé de la nuit, un godemiché se dessinait sur les nuages.
Broute acheva son astiquage et descendit dans les douves du manoir. En ce lieu était réuni tout le matériel de Bitman, des costumes aux véhicules, des revues cochonnes aux films hard. Hencule enfila un costume, sauta dans son bitjet et vola jusqu’à la tour où était allumé le projecteur.
Là-haut, un gros flic famélique l’attendait :
- « J’aurais besoin de vous Bitman.
- Pourquoi faire ? Deux terroristes tourmentent nos forces de polices : la première est nommée Catwoman, une femme féline qui vit sur les toits de la ville et qui convertit toutes les femmes « débiles à souhait mais fort plantureuses (en clair, le genre silly-connées comme on les aime…)®* » en gouinasses pures et dures, la seconde Poison Ivy, une goule écologiste qui vit dans les égouts.
- Rassurez-vous, je m’en occuperais. »
Et Hencule repartit à bord de son bitjet. Il survola la ville à la recherche de la première femelle.
Ne la trouvant pas de suite, Bitman prit le parti de se reposer dans quelques maisons de passe de la ville. Il fut tout d’abord jeter de la première pour avoir exploser le sphincter anal d’une des gourgandine. Il se résolu donc à tester la seconde. Il y prit une bonne blonde, belle croupe, beau balcon, et l’emmena dans une des chambres. Elle se déshabilla, Hencule se défroqua et lui demanda poliment « Oh, tu m’pompes grognasse ?! ». La délicate péripatéticienne fut d’abord impressionnée par l’organe hypertrophié de son client qu’elle devait téter mais ne renonça pas pour autant. Mais Hencule, dont l’apex de sa verge cyclopéenne était déjà pris en bouche, banda si fortement et si brusquement qu’il déboîta la mâchoire de sa camarade de jeux et s’éclipsa avant d’avoir de nouveaux problèmes.
Il erra ainsi dans les rues, à la recherche d’oignon à fendre, jusqu’à l’instant où il trouva Catwoman violant une excitante écolière. La violeuse était une putain de meuf chant-mé, et dont la toison pubienne lui avait valu le nom Catwoman. Alors que cette chienne, ou plutôt chatte, prenait en bouche la vulve de sa victime, en en broutant affectueusement la fourrure, Bitman arriva par derrière et lui fit un agréable anulinctus.
- « Fa tombe bien, f’est la tarte aux poils mon plat préféré ! » dit Hencule.
- « Sal bâtard ! ôte-toi de mon séant !
- Bâtard, peut-être, mais moi, je suis un mâle.
- Espèce de macho de merde ! C’est à cause de vieux miso comme toi que les meufs deviennent lesbiennes ! »
Hencule offusqué, la plaqua à terre et lui taillada « le boyau culier », comme dirais Rabelais. Catwoman mourut le bassin éclaté, comme toutes les autres femmes dans lesquelles le fils de Phallus persistait à s’embourber. Alors que les viscères de la défunte palpitaient encore dans une flaque d’hémoglobine, Hencule se contenta de dire « Ma saucisse a encore giclé trop fort » pour dédramatiser la situation. Sa copulation terminée, notre justicier se lança à la quête de Poison Ivy.
Bitman, bien équipé, se servit de sa godole gonflable pour circuler dans les égouts.
Alors que les rats y pullulaient, que les odeurs nauséabondes s’exhalaient des défections en putréfaction, Hencule surprit dans les égouts la militante écolo pour l’anti-mondialisation en train d’établir un plan pour détruire tous les MacDo’s du coin. Heureusement que Bitman arriva à temps pour l’arrêter.
- « Dis-moi ma cochonne, ça te dirait que je te mette une cartouche ?
- Incube ! » s’époumona l’écolo.
- « Succube ! » répliqua Hencule.
- « Pleutre ! » Lança Poison Ivy.
- « Pintade ! » S’esclaffa Hencule.
- « Grosse bite ! » Tenta la dinde.
- Et alors ? C’est quoi l’problème ? » Ricana Hencule.
- « Bon alors, tu me montres ta garrigue ou quoi ? » Reprit Hencule.
- « Tu peux brosser Bitman.
- Chienne d’infidèle, comment qu’tu t’permets de m’causer comme ça ? Je vais m’enliser dans ton rectum jusqu’aux intestins, je vais m’enfourner dans ta chatte avec ma big teub’ et je vais te remonter dans l’œsophage. Tu vas voir je vais te faire payer pour l’offense que tu m’as affligée ! »
Poison Ivy lui ria au nez, et Bitman lui planta son dard dans tous les orifices et ce jusqu’aux boyaux. Les entrailles gisant sur le sol infect des égouts, Poison Ivy rendit l’âme. Et Godham City était enfin libérée de ses chaînes.
Bitman avait achevé sa tâche, et pouvait enfin prendre un peu de bon temps. Ainsi, sous l’identité de Broute Wayne, il orgasmisa, euh, organisa (je sais, je fais pitié…) une petite partie de jambes en l’air avec la jet-set de Godham City, qui était principalement constituée d’actrice de porno chic. Mais là encore, c’est une autre histoire…