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Blood fallows Blood


La violence nourrit la haine, la haine nourrit la violence. C’est un cercle vicieux dans lequel l’être humain s’est jeté tête baissée et à corps perdus. Désormais la violence est partout, pire elle est devenue un mode d’expression. Pour certaines personnes en difficultés, elle est même devenue l’unique moyen de communiquer avec l’extérieur. Les gens se sentent plus en sécurité, plus respecté avec une arme sur eux. Ils en portent car ils craignent qu’on ne les agresse. Mais ceux qui les agressent, qui les menacent avec un couteau ou un flingue le font souvent pour se faire « respecter ». Ils sont juste un peu plus cons, c’est tout. C’est sûr que si tu as une arme et que tu te fais agresser, tu vas pouvoir riposter. Mais après, c’est toi qui auras du sang sur les mains.
Je vais être franc. Je me suis déjà fait braquer alors que j’avais un couteau de chasse sur moi, mais je l’ai jamais sorti. Quitte à me faire un peu chahuter par des pauvres types atteints de crétinisme à différents niveaux et qui se prennent pour des gros durs, je préfère ça à me salir de sang pour de tels demeurés.
Car après t’es fiché, dès qu’il y a une couille quelque part, t’es le premier suspecté. Tout ça pourquoi ? Pour t’être fait respecter de petits crétins. Je ne voie pas l’intérêt d’user de la violence alors qu’on peut dialoguer, même si parfois ce serait plus radical de frapper et après de parler.
Mais sur le coup, dans le feu de l’action, on pense différemment, on laisse notre instinct animal prendre le dessus et c’est là le problème.
Voilà donc ce que je pourrais qualifier de petit prélude inutile à l’histoire que je vais vous conter.


« Blood fallows Blood » est la version anglophone de la loi du Talion. Cela signifie « le sang amène le sang » et vu ce qui va suivre le terme n’est que plus approprié à cette délicate anecdote.
Le lieu où s’est déroulé cette histoire est, pardonnez-moi l’expression. des plus propice aux emmerdements. C’est un petit village perdu au fond de l’Ecosse, les villageois étant fort hostiles aux nouveaux venus. La plupart sont d’ailleurs à l’âge d’être inhumés. Seul subsiste un bande de jeunes voyous à l’accent du terroir passant leur temps à se défoncer à la « weed » locale et à la bière tiède. Bien sûr ils sont assez portés sur ce qui se situe en-dessous de la ceinture, mais c’est de leur âge, ça se comprend.
La plupart des « soirées » qu’ils organisaient se passaient, ils cherchaient vraiment la merde, dans le cimetière au nord du village. Lieu insalubre, macabre et pour le moins odorant, ces jeunes inconscients s’y déchiraient la gueule en chantant des cantiques rustiques. Leur bêtise était des plus admirables.
Bref, le village était tombé dans une monotonie des plus monotones jusqu’à ce qu’arrive une femme de quarante ans et « rudement bien conservée pour son âge », comme disaient les jeunes délinquants. Et ils n’étaient pas au bout de leur surprise. Une semaine après que la femme s’installa dans une vieille maison à vendre à l’extérieur du village, ses trois sublimes et « bandantes » (je ne fais que citer) jeunes filles la retrouvèrent.
Lorsqu’ils les virent les jeunes garçons fantasmaient à de suaves orgies où les quatres femmes seraient les invitées d’honneur.
Mais elles étaient inabordables. Dommage… Une nuit où ils étaient trop bourrés, les jeunes idiots invoquèrent les puissances du mal afin d’assouvir leurs pulsions bestiales.
Mais ils ont dû se gourer dans les incantations. Ils étaient maintenant munis d’un immense membre phallique avec lequel ils pouvaient même se gratter le menton. Mais sinon rien de bien particulier. Ah si ! Les habitants du village avaient littéralement pété les plombs et une malédiction pesait maintenant sur la petite communauté. Elle consistait, dans les grandes lignes, à pousser les habitants à s’entretuer de toutes les façons possibles. C’est fun, non ? Le groupe de jeunes, toujours préoccupés par le manière de se vider, entreprirent de violer les jeunes filles. Affreux :les malheureuses victimes n’avaient plus que le temps de crier : « Oh my gode », avant de se faire transpercer jusqu’aux amygdales !
Et la mère, horrifiée par ce spectacle, s’enferma dans la cuisine pour se livrer à des jeux aussi lubriques que délectables : elle se plongea une mimine dans la friture et se la mangea panée. Elle continua ensuite son repas en s’avalant goulûment le clitoris puis en se découpant le téton gauche pour finir par s’enfourner l’un de ses yeux jusqu’à atteindre le fond de sa boîte crânienne. Elle en est morte, je crois.
Mais heureusement, enfin pas pour longtemps, une des filles étaient parvenue à s’enfuir. Une fois soulagés, un des jeunes gaillards se retrouva sur le trône et finit par rejoindre ses renvois au fond du trou en se transformant en immonde mélasse de moins en moins solide. Amis de la poésie, bonsoir ! Un autre se fit arracher la bistouquette par la horde de gamins déchaînés qui finirent par organiser un match de base-ball avec l’engin.
Un peu plus tard, la jeune fille enfuie se fit salement violer par les dégénérés jusqu’à ce que mort s’ensuive et atterrit dans une décharge où le propriétaire de l’endroit termina le boulot avec ardeur ( pas si hostiles aux étrangers en fait).
Résumons : gore gélatineux, paillardise nécrophile et grosse farce en-dessous de la ceinture (d’ailleurs l’une des jeunes filles a effectué une fellation castratrice, c’est d’ailleurs comme ça qu’elle s’est enfuie).
Mais revenons à ce qui se passait dans le village : les clodos se défonçaient la gueule au tord-boyaux et continuaient de s’éclater littéralement en repeignant les murs tandis que le shérif tatanait le maire contre de crasses latrines et lui vomissa par-dessus pour lui montrer l’étendue de son respect.
Maintenant vous allez me dire que cette histoire est incohérente et qu’il n’y a pas de fin. Incohérente je ne peux rien y faire, mais en ce qui concerne la fin, je peux faire un effort : Une glaciale atmosphère rodait sur le triste village qui était devenue le sanglant lieu d’un carnage sans précédent (ça l’fait hein ?). Une brume épaisse et gelée s’était abaissée sur le cimetière, des bruits de craquements d’os éclatés se faisaient entendre sous les pas d’un des jeunes idiots venu réparer la faute. De nouveau, il invoqua les puissances maléfiques et les supplia d’arrêter ce funeste spectacle. Mais on a rien sans rien, et le jeune homme devait sacrifier sa vie pour clôturer le pacte. Et il tenait trop à la vie. « Allez vous faire sodomiser par un ours brun des montagnes » leur cria-t-il. Il n’eut pas cru si bien dire :un grizzli sortit de nulle part (c ‘est le cas de le dire) surgit derrière lui et lui cassa le cul jusqu’à lui éclaté le bassin. Paix à son âme. Les forces démoniaques emportèrent alors tous les habitants dans les abîmes brûlantes de l’enfer et partirent avec eux en laissant les corps dépouillés pourrir à la lumière orangée du jour qui se levait.
Voilà sinon j’ai vu dans un bouquin une suite pas mal de Star Wars Episod 1 où l’on imaginerai bien Jar-Jar Binks trombiner la reine Amidala pendant qu’Obi-Wan fait découvrir son corps à Anakin, et notamment le côté obscur de la fesse.

Je tenais aussi à préciser que certains passages sont tirés du magazine Mad Movies ce qui peut expliquer le côté Trash de certaines séquences.
En fin je souhaite indiquer que le titre de l’histoire n’a aucun rapport avec son contenu, qui n’est d’ailleurs qu’un vaste merdier. Voilà je tiens désormais à vous féliciter d’avoir eu le courage de lire ce tas d’immondices dont je suis assez fier.

© Shrykull : Blood fallows Blood




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