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Blanches-Fesses et les sept mains


Il était une fois une délicieuse reine qui vivait dans un pays lointain. Les mœurs de ce pays l’avaient faite péripatéticienne et toxicomane.
Un jour d’hiver, assise derrière la fenêtre de sa chambre, elle brodait un string après s’être fumée un peu de crack. De temps à autre, elle posait son regard sur le jardin à l’extérieure de la maison close, où tombaient doucement des flocons de neige. Tout en maniant l’aiguille, presque aussi bien que la verge, elle se piqua et une goutte de sang rouge vif tomba dans la neige sur l’appui de fenêtre.
« Oh, comme c’est beau ! » songea la reine (elle est blonde). « Comme je serais heureuse, si j’avais une petite fille aux lèvres vermeilles comme une goutte de sang, à la peau blanche comme la neige et aux cheveux noirs comme l’ébène des godemichés. »
Peu de temps après son vœu fut a priori exaucé. Une petite fille vint au monde à peu près telle que l’avait souhaité la reine. Les fesses charnues de la petite fille étaient blanches comme la neige, les lèvres de sa vulve étaient rouges comme le sang et ses cheveux noirs comme du bois d’ébène. C’est ainsi que tous les habitants du royaume l’appelèrent Blanches-Fesses (ou fille de pute, accessoirement).
Mais Blanches-Fesses n’avait pas un an lorsque sa mère, junkie, mourut d’une overdose.
Le roi, qui avait les hormones qui le titillaient, alla à la recherche de la plus bandante princesse des pays voisins. Tous approuvèrent les formes généreuses de la nouvelle reine, mais sa vanité était à la hauteur de ses mensurations.
Dans sa chambre, la reine possédait un miroir magique qui lui disait toujours la vérité, sauf lorsqu’il craignait pour son matricule. Chaque jour, elle s’y regardait longtemps et elle lui posait toujours la même question : « Miroir, mon beau miroir, qui est la plus belle de tout le royaume ? ». Et le miroir lui répondait : « Je vois et je regarde, ta beauté n’a d égal que ton narcissisme, c’est pourquoi je peux t’affirmer que tu es la plus belle de tout le royaume. »
Lorsqu’il répondait ceci, la reine en mouillait presque.
A mesure qu’elle grandissait, Blanches-Fesses devenait de plus en plus gracieuse. Tout le monde l’aimait à cause de la douceur de son caractère et de son petit cul qu’elle faisait rouler.
La reine, elle, redoutait que la jeune fille ne devienne une rivale. Aussi s’installa-t-elle devant son miroir magique : « Miroir, mon beau miroir, dis-moi qui est la plus belle ? »
Mais le miroir donna une réponse inattendue à l’autre conne : « Je vois et je regarde, Blanches-Fesses est la plus triquante du royaume. »
Pâle de fureur, la reine fit appeler le niqueur royal. Elle lui donna une bourse pleine d’or et dit : « Tu recevras cet argent si tu emmènes Blanches-Fesses au bois. Tu la dépucelleras et la tueras, dès que tu seras éloigné du palais royal. Tu me rapporteras son cœur comme preuve. »
Le hardeur était désolé, parce qu’il kiffait grave Blanches-Fesses. Pourtant il ne pouvait pas désobéir à la reine.
Et lendemain, il emmena Blanches-Fesses. Il la conduisit au fond du bois, pour qu’elle ne retrouve plus jamais le palais.
Le niqueur s’attristait de plus en plus, quand il songeait à l’ordre de la reine. « Arrêtons-nous là pour forniquer, euh, je veux dire pique-niquer. » balbutia l’homme. Tous deux s’assirent et l’homme commença à caresser l’innocente jeune fille. Pas si innocente que cela en réalité, car elle ne tarda pas à se dévêtir et en faire de même avec le niqueur royal Excité comme pas deux, il chevaucha Blanches-Fesses qui écartait joyeusement les jambes pour accueillir gracieusement l’ithyphalle de son guide. En deux temps trois mouvements il la décapsula et s’abandonna dans l’excavation de la tendre enfant. Le fertilisateur culpabilisait en songeant à sa mission et dit : « Blanches-Fesses, la reine m’a ordonné de vous tuer, mais je ne vous veux pas de mal. Rhabillez-vous et courez vite vous cacher au cœur de la forêt et promettez-moi de ne plus revenir. »
Et Blanches-Fesses courut, droit devant elle, les yeux embués par les larmes. Le bon niqueur ramassa l’hymen ensanglanté de la Lolita comme preuve de bonne volonté et retourna lentement au palais. Mais comment pouvait-il prouver qu’il avait réellement tué Blanches-Fesses ? Peu de temps après un faon apprut dans les buissons. Le chasseur saisit son Desert Eagle et assassina sauvagement l’innocent petit animal. Une portion de jeune cerf me plaira beaucoup au souper », songea-t-il et il continua son chemin, tenant le faon sur les épaules.
Tout à coup, il eut une idée lumineuse. Il montrerait le cœur du faon à la reine en prétendant qu’il s’agissait du cœur de Blanches-Fesses (lui il doit travailler à FedEx).
Pendant ce temps Blanches-Fesses couraient dans la forêt ; elle voulut se coucher sous un arbre lorsque la nuit tomba. Soudain, elle aperçut une maisonnette à travers les taillis. Elle s’approcha et frappa à la porte, mais personne ne lui ouvrit.
Elle entra par la petite porte et s’écria : « Oh, comme tout est petit dans cette maisonnette ! Voilà une table couverte de sept petites assiettes, sept cuillers et sept gobelets. Il y un un peu de space cake dans chaque assiette et quelques gouttes de scotch dans chaque verre. »
Blanches-Fesses avait tellement faim et soif qu’elle prit une miette de chaque petit space cake et une goutte de chaque petit gobelet. Puis elle inspecta la maison. Elle trouva sept couchettes couvertes de magazines pornos et de draps blancs tâchés…
Malgré sa fatigue et le fait que les stupéfiants lui retournaient le cerveau, elle ne parvenait pas à dormir parce que les lits étaient trop petits. Elle les essaya l’un après l’autre ; dans la septième couchette, explosée, elle s’endormit.
A la tombée de la nuit, sept nains retournèrent à la maison. Ils avaient travaillé toute la journée dans les champs de marijuana et d’opium. Ils allumèrent leurs sept petites lampes et leurs joints et à ce moment, ils s’aperçurent que quelqu’un était entré dans leur maisonnette.
« Qui s’est assis sur ma chaise ? » demanda Grincheux.
« Qui a mangé mon space cake ? » demanda Joyeux.
« Je vois que le mien a changé d’assiette ! » dit Atchoum et il toussa rauquement après avoir tiré une latte qui lui a dépouillé la gorge pour se calmer.
« Qui a utilisé ma cuiller ? » demanda Prof, l’aîné et le meilleur rouleur des nains.
« Quelqu’un a-a bu dan-ans mon gobelet », dit Timide.
Simplet aphone, se lamenta de lui avoir mangé et bu toute sa denrée en gémissant.
Dormeur, le septième des nains, étant toujours déchiré, regarda sa couchette. « Quelqu’un est dans mon lit ! » cria-t-il.
Les gnomes entourèrent la couchette. Prof chercha sa lampe et ils s’écrièrent tous : « Oh, guettez la bônasse ! »
Atchoum tira encore sur son cône et toussa, ce qui énerva encore les autres nains. « Tu vas la réveiller », dirent-ils. « Profitons qu’elle soit droguée pour la cajoler un peu », suggéra malignement Prof. Et ainsi ils la déshabillèrent, et laissèrent glisser leurs mains et leurs bouche sur tout le corps de la belle jeune fille.
Simplet, peu communicatif, s’attarda à la toison de Blanches-Fesses il y passa langoureusement la langue et les lèvres de la jeune fille rougirent comme jamais, elles se gorgeaient de sang par leur turgescence, s’écartaient comme les pétales d’une rose rouge éclose une douce matinée d’été. Timide fut cette fois-ci des moins pudiques, et à la vue des blanches fesses de la demoiselle, il ne put se retenir d’y engloutir sa petite verge. Prof et Joyeux tâtaient le buste de ladite jeune fille, mais Joyeux, comme son nom l’indique, témoigne facilement son enthousiasme et s’est rapidement soulagé malencontreusement sur Grincheux. Ce dernier d’humeur déjà peu obligeante, fut alors d’une colère noire et partit se soulager tout seul dans son lit sur ses magazines. Atchoum et Dormeur apportèrent bière et shit pour accompagner les bonnes faveurs de leur hôte. Le lendemain, Blanches-Fesses se réveilla et regarda autour d’elle. Comme elle était étonnée de voir sept nains dormant ! Ils portaient des dreadlocks et leur verge ne cessait de bander.
A ce moment, l’un des nabots tomba hors d’un des couchettes. Il se réveilla et il vit Blanches-Fesses, nue, debout dans le lit. « Yo les mecs, elle est réveillée ! » s’écria-t-il. Les autres demi-portions se réveillèrent à leur tour et ils entourèrent langoureusement Blanches-Fesses.
« Quel est ton nom ? » demanda Prof.
« Je m’appelle Blanches-Fesses », répondit-elle.
« Tu portes très bien ton nom femelle ! » grogna Grincheux.
« C’est vrai. Mai-ais, que fais-tu-u là ? » interrogea Timide.
« Je me suis sauvée à cause de ma marâtre, la reine », dit Blanches-Fesses.
« Vous êtes donc une princesse ? » demanda Dormeur et il fut très fier d’avoir forniqué une demoiselle de son rang.
Blanches-Fesses raconta que la reine avait voulu la tuer, mais que le niqueur l’avait sauvée, après avoir bien entendu jouit de sa personne. Elle avait courut toute une journée pour atteindre enfin la maisonnette des morbacs. Elle avait goûté des petits morceaux de gâteau au teusch et un peu de scotch. Puis, elle s’était couchée dans un des petits lits.
Les nains ne furent point offusqués de son intrusion et ce fut Prof qui dit avec candeur : Il faut que tu restes chez nous ! »
Atchoum dit en crachant ses poumons : « La reine ne passera jamais ici ! »
Et Grincheux dit : « Blanches-Fesses fera le ménage et la popote pendant que nous labourerons les champs. » « Et c’est elle que nou-ous labou-ourerons après. » chuchota Timide.
« Mais elle pourra aussi nous border le soir », dit Dormeur en se léchant les babines de plaisir.
Blanches-Fesses promit tout cela et elle demeura chez eux.
Les lilliputiens partaient toujours de bon matin et lorsqu’ils rentraient le soir, le repas était servi et les couchettes étaient faites. Et pour les aider à s’endormir, Blanches-Fesses les réconfortaient en leur taillant à chacun une petite pipe.
Pendant ce temps la reine était certaine que Blanches-Fesses avait été tuée par le niqueur royal.
Cependant elle demanda à son miroir magique : « Mon cher miroir, veux-tu me dire qui est la plus belle du royaume ? » ; « La plus belle du royaume n’est certainement pas toi, face de pet, car c’est encore et toujours Blanches-Fesses. Et elle jouit allègrement de sa beauté en compagnie des sept nains. »
La reine serra les fesses de fureur, elle trouverait un moyen efficace pour tuer cette gourgandine.
Elle chercha dans ses livres de cuisine et délaya composé un breuvage composé d’ecsta, d’héro, et de cocaïne, dans lequel elle trempa une moitié de pomme. Elle plaça cette pomme au milieu d’une corbeille de fruits et se mit en route déguisée en vieille paysanne, et ce sans trop de difficulté.
Lorsque Blanches-Fesses fut toute seule, elle frappa à la porte. Les pygmées lui avaient dit de se méfier de la reine, mais c’était une vielle femme qui se trouvait devant la porte.
La grognasse dit : « Bonjour, jeune madame, je vends des fruits »
Elle montra une belle pomme rouge et Blanches-Fesses ne put résister à l’envie de la manger.
La vieille la lui offrit, et Blanches-Fesses croqua à pleine dents dans ce fruit juteux. Blanches-Fesses s’évanouit et commença à convulser : elle faisait une overdose.
« Maintenant tu es belle et bien morte ! » s’écria la méchante reine. « Les myrmidons ne pourront pas t’aider ! Et moi je suis à nouveau la plus belle du royaume ! » Blanches-Fesses, elle, gisait par terre et régurgitait une glauque bouillie blanche.
Et oui, la réponse du miroir ne fut pas inattendue pour la vieille peau : « C’est vous, Majesté, qui êtes la plus bandante du bled ! »
De retour chez eux, les avortons trouvèrent Blanches-Fesses, couchée dans une flaque de déjections, comme si les nains lui avaient encore éjaculé dessus dans son sommeil. Ils tâchèrent en vain de la ranimer. Ils restèrent autour d’elle et ils se branlèrent sans cesse pendant trois jours et trois nuits, tant qu’elle était encore belle.
Au bout du quatrième jour, Prof dit : « Nous ne pouvons l’ensevelir sous notre semence. Il nous faut lui offrir un funeste et respectable enterrement. » « La flemme de creuser ! », rechigna Grincheux.
Ils construisirent pour elle un lit en feuille de chanvre indien recouvert de fleurs de pavot. Ils lacèrent le cercueil sur un tertre au milieu de la forêt. Et là, chaque jour et chaque nuit, à tour de rôle, ils montèrent la garde.
Au bout de plusieurs années, Blanches-Fesses n’avait pas changé. La semence mêlée aux larmes des nains gardaient sa peau blanche comme neige, et sa vulve, rougeoyante comme le sang.
Un jour, un beau prince s’égara comme par hasard dans les bois. Il était le fils du roi Durex, qui régnait sur le pays voisin.
Il avait parcouru le bois toute la journée et le soir il arriva près de la maison des tom-pouces. Il aperçut le cercueil de Blanches-Fesses sur le tertre. « Qu’elle est bandante », songea le prince et il sentit qu’il l’aimerait et lui ferait l’amour pour la vie.
Au retour des culs-de-jatte il demanda :
« Vendez-moi ce cercueil, je vous en donnerai tout ce que je possède ! »
Les nains refusèrent et Grincheux dit : « Non, non, même pas pour tout l’or, la drogue et les coïts de la terre ! »
Le prince aux tendances nécrophiles dit alors : « Accordez-moi au moins l’honneur de lui offrir une copulation ! »
Les gnomes lui accordèrent, et à peine le Héros s’est-il introduit que Blanches-Fesses se réveilla sous un râle de plaisir. « Et ben mon gars, t’es sévèrement bien monté toi ! », dit Blanches-Fesses et mouillant comme un chasse d’eau.
Le prince, bandant, l’embarqua dans sa belle merco, laissant les sept nains à leur désarroi, qui crièrent : « Salope ! ».
Les noces furent préparées aussitôt et tous les nobles des pays voisins furent invités. La méchante reine interrogea son miroir magique avant de partir pour la fête :
« Miroir, génie du miroir, qui est la plus belle du royaume ? »
Le miroir répondit :
« Je vois et je dis : tu es la plus belle du pays. Mais tu es un trumaud comparée à Blanches-Fesses qui est dans le royaume du roi Durex et qui est mille fois plus excitante que tu ne l’es ! »
La reine était si fâchée qu’elle brisa son miroir. Elle a fait une tachycardie et tomba raide morte à la suite d’une crise cardiaque.
Blanches-Fesses vécut pas très longtemps et encore moins heureuse aux côtés de son mari, le roi. La vie de débauche que ces libertins toxicomanes entretenait les a emmené en cure de désintoxication. Blanches-Fesses mourut du S.I.D.A, quant à son mari, qui était protégé dans tous les rapports qu’il pratiquait, se suicida à la vue du corps inerte de sa compagne.
Les nains, eux, devinrent maquereaux en faisant de leur maisonnette une maison de passe, avec toutes les jeunes filles qui s’égaraient dans les profondeurs des bois.
Et ils vécurent misérablement, et n’eurent jamais d’enfants.


© Shrykull : Blanches-Fesses et les sept mains
P.S. : Spécial dédicace à Said et Komar.


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